Entre salle de bain et jardin...
Samedi 4 avril 2009
Les oiseaux chantent, le soleil commence à se montrer, avec lui l'envie de gambader dehors, de faire de la balançoire, de jouer avec le sable, la terre, les petites cailloux, mais surtout l'eau et les outils de papa et maman. Car quoi de plus drôle, qu'une tronçonneuse, une pioche ou un sécateur lorsque l'on a que trois ans ?
Le papa de Toumaï avait posé un jour de congé pour faire la salle de bain avec son beau-père. Seul soucis, sa femme ne pouvant gérer leur enfant, il fallait à la fois qu'il s'occupe de son fils et de son beau-père. Et manque de bol, le vendredi n'avait suffit à finir les travaux. Il fallait donc remettre ça aujourd'hui !
Toumaï avait l'habitude de faire des bonnes siestes de trois heures chaque après-midi. Laissant en théorie, trois heures de travail intensif pour le beau-père et son genre. Mais, il arrive bien souvent que la pratique soit un peu différente... D'une part, les deux hommes avaient un peu pris leur temps pour démarrer et le petit garçon quant à lui avait trop envie de participer pour s'abandonner trop longtemps dans les doux bras de la belle morphée.
A 15H00, juste au moment ou les deux compères attaquaient les travaux sale et demandant un peu de concentration, le cliquetis des petits pieds nu de Toumaï retentis. La première à l'apercevoir fut sa maman. Il avait encore le visage tout endormie, les cheveux hirsutes et son petit regard d'ange. Ses premières paroles furent un concert de questions à l'attention de son père et de son grand-père.
C'est donc les deux mains dans la colle à carrelage, que son papa retrouva son fils. Manque de bol, lui était pendu à sa spatule en pleine pose de carreaux. Lavage de main, par son papi, puis reprise en charge par son papa, pendant que le beau-père s'occupait de la pose de la faïence de la salle de bain. Père et fils, profitant de la douceur du temps et du soleil pour s'occuper dans le jardin. Bibi travaillait dans en silence et la maman de Toumaï avait comme mission de faire la relation entre l'extérieur (son mari) et l'intérieur (son papa) de la maison.
De temps à autre, elle poussait un peu la voix par la fenêtre, pour retranscrire une question. Ou, se tournant vers la porte de la salle de bain, elle s'inquiétait de savoir si son père n'avait besoin de rien. Tout allait pour le mieux, lorsqu'un coup elle entendit " mince (ce n'était pas vraiment ce mot là), la frise elle est à quel hauteur !!!" Sachant, pertinemment déjà la réponse, Bibi sortie de la salle de bain pour alerter lui même son gendre. Celui-ci arriva en courant, un peu tendu par la situation, vidant tout d'abord son énervement, puis "vite ! on décolle !!".
Heureusement, l'erreur fut vite résolue. Mais, Toumaï n'ayant pas besoin de beaucoup de temps pour faire une bêtise, ni son papa ni sa maman n'étaient très rassurés de le savoir seul dans le jardin. Lorsque son papa revient vers lui, le petit garçon était toujours vivant et entier (c'était le principale !!!) mais on ne pouvait en dire autant de ses chaussures et ses vêtements !!!
Mam
Les oiseaux chantent, le soleil commence à se montrer, avec lui l'envie de gambader dehors, de faire de la balançoire, de jouer avec le sable, la terre, les petites cailloux, mais surtout l'eau et les outils de papa et maman. Car quoi de plus drôle, qu'une tronçonneuse, une pioche ou un sécateur lorsque l'on a que trois ans ?
Le papa de Toumaï avait posé un jour de congé pour faire la salle de bain avec son beau-père. Seul soucis, sa femme ne pouvant gérer leur enfant, il fallait à la fois qu'il s'occupe de son fils et de son beau-père. Et manque de bol, le vendredi n'avait suffit à finir les travaux. Il fallait donc remettre ça aujourd'hui !
Toumaï avait l'habitude de faire des bonnes siestes de trois heures chaque après-midi. Laissant en théorie, trois heures de travail intensif pour le beau-père et son genre. Mais, il arrive bien souvent que la pratique soit un peu différente... D'une part, les deux hommes avaient un peu pris leur temps pour démarrer et le petit garçon quant à lui avait trop envie de participer pour s'abandonner trop longtemps dans les doux bras de la belle morphée.
A 15H00, juste au moment ou les deux compères attaquaient les travaux sale et demandant un peu de concentration, le cliquetis des petits pieds nu de Toumaï retentis. La première à l'apercevoir fut sa maman. Il avait encore le visage tout endormie, les cheveux hirsutes et son petit regard d'ange. Ses premières paroles furent un concert de questions à l'attention de son père et de son grand-père.
C'est donc les deux mains dans la colle à carrelage, que son papa retrouva son fils. Manque de bol, lui était pendu à sa spatule en pleine pose de carreaux. Lavage de main, par son papi, puis reprise en charge par son papa, pendant que le beau-père s'occupait de la pose de la faïence de la salle de bain. Père et fils, profitant de la douceur du temps et du soleil pour s'occuper dans le jardin. Bibi travaillait dans en silence et la maman de Toumaï avait comme mission de faire la relation entre l'extérieur (son mari) et l'intérieur (son papa) de la maison.
De temps à autre, elle poussait un peu la voix par la fenêtre, pour retranscrire une question. Ou, se tournant vers la porte de la salle de bain, elle s'inquiétait de savoir si son père n'avait besoin de rien. Tout allait pour le mieux, lorsqu'un coup elle entendit " mince (ce n'était pas vraiment ce mot là), la frise elle est à quel hauteur !!!" Sachant, pertinemment déjà la réponse, Bibi sortie de la salle de bain pour alerter lui même son gendre. Celui-ci arriva en courant, un peu tendu par la situation, vidant tout d'abord son énervement, puis "vite ! on décolle !!".
Heureusement, l'erreur fut vite résolue. Mais, Toumaï n'ayant pas besoin de beaucoup de temps pour faire une bêtise, ni son papa ni sa maman n'étaient très rassurés de le savoir seul dans le jardin. Lorsque son papa revient vers lui, le petit garçon était toujours vivant et entier (c'était le principale !!!) mais on ne pouvait en dire autant de ses chaussures et ses vêtements !!!
Mam